"Je parle d’anti-journal car j’expose quelque chose de personnel, à l’instar d’un journal intime auquel j’emprunte certains codes, mais en réalité, je me positionne contre l’intimité de mon contenu. Il a pour vocation de me dépasser et de ne plus m’appartenir. J’aimerais, à partir du travail déjà réalisé, écrire et combiner texte et image au sein d’un roman graphique mêlant intimité réelle et fiction fantasmée."